Dans ma PAL depuis un moment, sorti à l’occasion de mes vacances.
Thriller / 27 août 2023
Liz pédiatre aux urgences accueille à 22 heures une de ses amies Jess avec sa fille de 10 mois Betsey. Suspicion de mauvais traitements, quel dilemme lorsqu’il s’agit d’une amie que l’on pense connaitre !
Sarah Vaughan est née en 1972 au Royaume Uni.
Elle est journaliste et écrit sous le pseudonyme de Sarah Vaughan.
Elle a tout d’abord travaillé en tant que serveuse puis à suivi une formation de journaliste, elle a exercé pour le quotidien « The Gardian » pendant 11 ans.
En 2009 devient journaliste indépendante.
Autopsie d’un drame car ce livre se décline jour après jours et heures après heures avec quelques feed-back.
Le sujet est intéressant car on évoque encore trop peu l’épuisement de certaines mères face aux pleurs incessants de leur enfant et la culpabilité générer à ne pas pouvoir les apaiser. Le manque de relai, la honte, l’implication des pères….
Les codes imposés par la société de la mère parfaite.
Un thriller domestique qui questionne sur la dépression post partum, les TOCS, le signalement en cas de doute.
Un bon moment de lecture.
J’ai été gênée par le manque d’authenticité de ses 4 amies dont la relation amicale est restée très superficielle.
Quelques longueurs également pour moi.
Les +
*Les sujets abordés comme la dépression post partum et l’épuisement des femmes qui viennent d’avoir un enfants quand celui ci pleure beaucoup. La honte à en parler et le manque de relais sont des sujets d’actualité et trop peu abordés.
*L’engrenage auxquels une famille peut faire face lorsqu’il y a une suspicion de mauvais traitements. Pourtant le signalement reste nécessaire.
*Le fait de se retrouver dans cette situation et de connaitre la personne concernée par les faits rends la situation encore plus complexe.
*Un thriller domestique dont la plume est agréable, le dénouement réserve une petite surprise.
Les –
*Quelques longueurs en ce qui me concerne.
*Pas convaincu par l’amitié qui lie ces 4 femmes que je n’ai pas trouvé touchantes.
Autopsie d’un drame